Bavards du crépuscule
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Ce film est pour moi l’apothéose d’une rencontre entre deux génies, un croisement entre la vision magique de Peter Jackson et l’intelligence créative de J.R.R Tolkien.
Avant même de parler de l’action du film, il faut souligner le fait que Le Retour du Roi est un orgasme visuel. Que ce soit des paysages naturels ou bien des images de synthèses magnifiquement réalisées par les Studios Weta, on en prend plein la vue de la première à la dernière minute du film. Je vous invite à regarder certains films ayant été réalisés à la même époque (ex : Harry Potter à l’école des sorciers), pour se rendre compte de la qualité extraordinaire du travail fournit sur ce film en terme d’effets visuels.
Mais comment sublimer le visuel ? Tout simplement grâce au travail énorme du 3ème génie de cette saga, Mr. Howard Shore. Une simple scène de paysage montagneux peut vous donnez des frissons qui parcoure le dos grâce à des mélodies absolument magnifiques. Il se classe ainsi parmi les grands compositeurs de films, aux côtés de Hans Zimmer ou encore John Williams.
L’action, maintenant, marque l’apogée de la saga. Un choc des civilisations titanesque, avec des batailles à couper le souffle. Peter Jackson nous embarque ici à l’intérieur même du champ de bataille, quitte à se faire écraser par un Oliphant ! On ressent à travers ces scènes tout le courage et la peur des combattants, motivés à donner leurs vies grâce à des discours embrasés à couper le souffle. La scène de la Charge des Rohirrims est pour moi l’exemple de plus parfait venant souligner mes propos.
Rajoutez à cela des jeux d’acteurs exceptionnels tel que Viggo Mortensen et Andy Serkis, la pointe d’humour de personnages tels que Gimli, Merry et Pippin, des amitiés inébranlables, un personnage maléfique mystérieux et inquiétant, et bien sur une créativité sans limite de l’écrivain J.R.R Tolkien presque parfaitement transmise du livre à l’écran, et vous obtenez tout simplement ce chef d’œuvre, le film le plus oscarisé de tout les temps.
Tout bonnement fantasmagorique.
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Créée
le 13 avr. 2017
Critique lue 337 fois
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