...Certes, il y a beaucoup de germaniques à la manœuvre (Mendelssohn, Dieterle, Reinhardt, Korngold...), mais le nom-clé c'est surtout celui de Reinhardt, qui nous permet de situer un peu plus précisément l'influence : très Hofmannsthal-Strauss, je trouve, côté "La Femme sans ombre". Et puis, Salzbourg, c'est la ville de Mozart, Stefan Zweig, Karajan... Hitler aussi (bon, pas Salzbourg même, c’est vrai, juste un peu plus au Nord ; mais non moins collé à l’Allemagne…). Bref, on s'explique mieux pourquoi ce film "hollywoodien" fait si peu... hollywoodien, justement, et beaucoup plus anomalie merveilleuse.