Au fur et à mesure du film, j’ai eu l’impression d’une sorte de voyage de Gulliver chez les Liliputiens.
Il y a bien deux mondes, celui des adultes et celui de ces gangs d’adolescents craints et évités.
Le policier qui fait passerelle est un ancien adolescent, ce qui lui donne cette compréhension des règles et de la colère et la déchirure qui les ronges.
Les enfants sauvages , titre anglais , plus approprié, et leur look de caïds de 15 and m’évoquent le pays des garçons dans Pinocchio. La société ne s’en intéresse pas sauf si une histoire à scandales peut apporter des voix au gouverneur