"Le Temps qui reste" est un drame émouvant sur la fin de vie, porté avec sensibilité par Melvil Poupaud dans le rôle de Romain, un jeune photographe confronté à un cancer en phase terminale. Le film explore la solitude, l'acceptation et les relations familiales avec une sobriété poignante, évitant le pathos excessif. François Ozon traite le sujet avec une justesse remarquable, en laissant place à des moments de grâce et de douceur, notamment dans la relation de Romain avec sa grand-mère incarnée par Jeanne Moreau.
Créée
le 18 oct. 2024
Critique lue 13 fois
D'autres avis sur Le Temps qui reste
(attention, il y a des spoilers si on peut les appeler ainsi..) J'avais d'abord mis un 6, qui s'est transformé en 5 quelques jours plus tard. Je ne sais pas quoi penser de ce film. Ça commençait fort...
Par
le 1 févr. 2014
10 j'aime
la une œuvre infiniment troublante et personnelle. Le sujet n’est pas des plus originaux ; les derniers jours d’un homme et la manière d’appréhender sa mort. On pourrait même faire un parallèle avec...
le 24 sept. 2014
6 j'aime
Ce qui est génial chez François Ozon, c'est qu'il sait s'approprier des postulats simples pour les remanier à sa sauce et les rendre forts et poignants. Dans "Le Temps qui reste", c'est l'histoire...
Par
le 21 août 2014
6 j'aime
Du même critique
Le deuxième long-métrage de l'actrice Noémie Merlant derrière la caméra est une véritable surprise. "Les femmes au balcon" est une comédie féministe post #MeToo sur la liberté des corps, les...
le 25 mai 2024
8 j'aime
1
Vif succès en Italie, « Il reste encore demain » suit le quotidien d’une femme dans la Péninsule au lendemain de la Seconde guerre Mondiale. Delia, mère de trois enfants, doit faire face à la...
le 14 mars 2024
8 j'aime
« Chroniques de Téhéran » présente neuf scénettes de personnages face caméra qui subissent de plein fouet l'aberration et la censure du régime
le 14 mars 2024
6 j'aime
1
