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Le Dictateur
J'ai eu du mal à rentrer dans ce film, beaucoup trop de choses me dérangent... Je n'ai pas été sensible au charisme du personnage principal, je ne comprend pas pourquoi les gens ont l'air autant...
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Le triomphe de l'ennui.
Suis-je passé totalement à côté du film ? Au vu de certaines critiques louangeuses, je le crains. Mais je m'ennuyais tellement au bout d'une heure que j'ai préféré arrêter le massacre visuel sur l'instant.
Pourtant, la pellicule démarrait sous des augures favorables : une magnifique séquence d'ouverture, à bord d'un avion fendant les nuages, allusion aux aigles du Reich sûrement. Puis, le même avion virait, pour nous dévoiler une cité germanique riante, avec sa vieille ville, son château dans le plus pur style bavarois. Et son aéroport, sur lequel se pose bientôt le Junker déplaçant le Fürher. La caméra se pose alors au sol, et filme le trajet du cortège des dirigeants du parti National-Socialiste, longue file de Mercedes fendant une foule apparemment en délire.
Et là, c'est le drame.
Bon, l'esthétique "beaux et grands garçons qui jouent à moitié nus dans la nature", "retraite aux flambeaux" et "constructions monumentales" à ses tenants, certes. Les discours braillés, les chants d'une seule voix, les manoeuvres d'un seul homme, c'est parfois bien. Mais non, en fait, ça ne passe pas.
Et puis le bon doktor Goebbels, il fait quand même méga-peur.
Pourtant, la pellicule démarrait sous des augures favorables : une magnifique séquence d'ouverture, à bord d'un avion fendant les nuages, allusion aux aigles du Reich sûrement. Puis, le même avion virait, pour nous dévoiler une cité germanique riante, avec sa vieille ville, son château dans le plus pur style bavarois. Et son aéroport, sur lequel se pose bientôt le Junker déplaçant le Fürher. La caméra se pose alors au sol, et filme le trajet du cortège des dirigeants du parti National-Socialiste, longue file de Mercedes fendant une foule apparemment en délire.
Et là, c'est le drame.
Bon, l'esthétique "beaux et grands garçons qui jouent à moitié nus dans la nature", "retraite aux flambeaux" et "constructions monumentales" à ses tenants, certes. Les discours braillés, les chants d'une seule voix, les manoeuvres d'un seul homme, c'est parfois bien. Mais non, en fait, ça ne passe pas.
Et puis le bon doktor Goebbels, il fait quand même méga-peur.
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le 7 janv. 2011
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