En 1938, la Fédération germano-américaine recrute de plus en plus de membres. Des espions sont parmi eux. Réalisé par Anatole Litvak, qui a fui l'Allemagne quelques années plus tôt, le film est l'un des premiers tourné en Amérique et destiné à persuader une Amérique encore neutre du fanatisme et du danger représenté par les nazis y compris en dehors d'Europe. Il est basé sur des dossiers du FBI et comporte au moins trois aspects : documentaire, propagandiste et scénarisé avec une histoire assez complexe d'infiltration de sympathisants nazis dans les rouages de la société américaine. Cette dernière partie est excellemment menée avec un Edward G. Robinson très convaincant.

Cinephile-doux
6
Écrit par

Créée

le 22 déc. 2016

Critique lue 373 fois

1 j'aime

Cinephile-doux

Écrit par

Critique lue 373 fois

1

D'autres avis sur Les Aveux d'un espion nazi

Les Aveux d'un espion nazi
KvinGiraud
6

Un joli panorama historico-subjectif

L'intérêt de ce film se trouve plus dans son contexte que dans le film lui même, qui est somme toute moyen. Ce qui est vraiment intéressant est concentré dans la propagande anti-nazi que le film...

le 17 nov. 2012

1 j'aime

Les Aveux d'un espion nazi
Morrinson
5

"Something like spending a great deal of time going through a madhouse."

D'un point de vue historique, c'est un film très intéressant. Anatole Litvak raconte l'émergence des mouvements nazis à la fin des années 30... aux États-Unis, à 6 mois du début de la Seconde Guerre...

le 28 mars 2023

Du même critique

As Bestas
Cinephile-doux
9

La Galice jusqu'à l'hallali

Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...

le 28 mai 2022

79 j'aime

4

France
Cinephile-doux
8

Triste et célèbre

Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...

le 25 août 2021

79 j'aime

5

The Power of the Dog
Cinephile-doux
8

Du genre masculin

Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...

le 25 sept. 2021

73 j'aime

14