Voir le film

La fascination, à l'instar de "Chambres rouges" et son actrice principale, trouve son pouvoir dans l'inexpliqué et dans sa faculté d'éveiller une admiration intense. À travers des clés de compréhension dissimulées, le film crée une atmosphère inconfortable où le fantasme, le désir, l'admiration et la perdition convergent aux portes du théâtre de l'horreur, caché, nous laissant seulement avec notre voyeurisme troublant.

cadreum
8
Écrit par

Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Top 20 - Films 2024 (en cours)

Créée

le 28 janv. 2024

Critique lue 45 fois

16 j'aime

cadreum

Écrit par

Critique lue 45 fois

16

D'autres avis sur Les Chambres rouges

Les Chambres rouges
Stanvoyen
10

Chef d'oeuvre tout simplement.

Falcon Lake, Simple comme Sylvain, et maintenant Les Chambres Rouges. Voici trois films que j'ai vus récemment, démontrant à quel point le cinéma canadien est en train de sortir de sa tanière et de...

le 26 nov. 2023

62 j'aime

1

Les Chambres rouges
Yoshii
8

Le rouge et l'obscur

"Les chambres rouges", et c'est une des constantes du métrage, est une œuvre qui dès le prologue met le spectateur à l'épreuve. Chaque plan de la très inquiétante scène d'ouverture interroge : où...

le 3 janv. 2024

57 j'aime

Les Chambres rouges
micktaylor78
8

Au plus profond de l'âme humaine

Il se passe quelque chose du côté du cinéma québecois depuis quelque temps. Là où il est toujours tentant de n’envisager ce dernier que sous l’angle de l’accent rigolo légèrement folklorique, et donc...

le 19 janv. 2024

53 j'aime

9

Du même critique

The Substance
cadreum
9

Consommation de son reflet

Soumise à l’inexorable fuite du temps et aux regards masculins implacables, Elisabeth s’effondre sous le poids d’une beauté marchandisée. Dans The Substance, elle s’abandonne à un fluide malléable,...

le 31 oct. 2024

11 j'aime

La Plus Précieuse des marchandises
cadreum
9

Des ombres qui brillent

Grumberg choisit la fable et Hazanavicius l'animation pour aborder la dés.humanisation, et ainsi transcender les limites de sa représentation. La simplicité apparente de la forme, qu’il s’agisse de...

le 1 oct. 2024

10 j'aime

1

Megalopolis
cadreum
8

Une envie de le défendre

Megalopolis s’affirme en opéra visuel exubérant, une œuvre où la démesure et la mégalomanie règnent en maître. À travers ce film, Coppola libère un foisonnement baroque de kitsch romano-futuriste, où...

il y a 8 jours

9 j'aime