Nous avons à faire ici a un nouveau coup de maitre de la part du réalisateur chinois qui, tout en gardant une écriture incroyablement complexe et engagé, nous propose une réalisation au diapason rivalisant avec les plus grand maître du genre.
Le réalisateur de "a touch of sin" reste avant tout un cinéaste engagé, tout en conservant une plume très satirique quand à perversion de l'homme par l'argent qui (dans la seconde partis du film) associés au nouvelle technologie, devient d'autant plus consequentes et problématiques, il y a associe une assée subtil critique de l'uniformisation culturelle, ce basant en grand partis sur le modèle libéral américain, qui menace sont pays.
En plus de cela, Jia Zhangke nous propose une mise en scène réfléchis ce basant sur le cadrage, ou plus précisément la position des personnages dans le cadre, le hors champs, qu'il utilise pour brillament reporter l'attention du spectateur sur ce qu'il veut nous faire ressentir avant tout et qui vas nous faire, en parfois un seul plan, nous mettre dans la peaux des deux différents personnage principaux qui s'aime sans s'aimer, et cela me permet de cloturé sur ce dont parle le films avant tout : l'évolution d'une relation conjugale qui, dans de brillant ellant de lucidité cinématographique, nous offres des sequences inoubliable tant elle sont grandiose, comme le plan séquence de la discution dans la chambre d'hôtel qui n'est pas sans râpeller certains films de Michelangelo Antonioni tant elle est maîtriser et réfléchie.
"Les Éternels" est un grand moment de cinéma maîtrisé de bout en bout et qui, je le pense en tout cas, ne laiseras personnes indifférent.