Coproduit et réalisé par Piana en supernumérique anamorphique avec un budget minuscule, dédié vidéo. Les décès d'Ian Stone commence par le personnage dans des dérèglements visuels saisissants, avec une créature qui lance l'intrigue. La dimension fantastique avance, façon série B qui peine à maintenir le suspense en s'embrouillant dans des détails métaphysiques, pour conduire aux révélations.
Le style théâtral s'enroule dans une vaste répétition de l'action avec des effets sonores impressionnants qui amplifient un défi sur le temps. Le contact des dimensions s'effectue dans une fuite qui boucle sans cesse, en libérant le pouvoir d'une malédiction. Le récit retombe sur des facilités dans un montage léger qui démarre des manipulations prévisibles pour refermer l'histoire en apothéose, lors d'un fade dénouement, pour cette œuvre originale, mais qui manque vraiment de budget.
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