Quel pied !
Ce film est à voir rien que pour sa forme ainsi que pour son originalité, rare sont les films d'une telle maitrise. Le sujet est traité par une grande intelligence, nous commençons à travers une zone pavillonnaire bien classique et familière auquel nous allons exprimé du dégout à la fin du film.
Le long métrage arrive des le début à nous mettre à la place de ces enfants qui ignore tout de l'époque qui nous précède et le film par successions de petites histoires nous apprends que le moyen age grâce à la religion, à l'organisation de la communauté et à la charité est une période de grandes évolutions auquel il fait bon vivre. Le monde invisible de la moral et de la condition humaine régnait sur le monde matériel ! Cette période se termine par la peste, le guerre et la vison mercantile de l'époque de Charle 7. C'est si intelligent d'avoir utilisé Jaques Coeur ainsi qu'Agnés Sorel pour expliqué la métamorphose réalisé. Évidemment, nous retenons par la rigueur historique, nous retenons cependant à la sortie du film un sentiment réactionnaire, le dégout nous prends en voyant ce lotissement remplacé nos forets, ces chants morts, inertes stériles détruire nos vielles cultures ou le blés se mélangeait aux fleurs et nos cathédrales construite pour l'avenir et pour la foi invisible évincer par des immeubles éphémères. Le film m'a aussi rappelé mes lectures de Sylvain Tesson, ou les murailles que nous pensons obscure se sont métamorphosés en rocade routière et en lotissement immense bien plus éprouvant pour le pauvre pèlerin.