Les Charlots, qui ne sont plus que quatre, Luis Rego a décidé de suivre une route différente après Les Bidasses en folie, sont en vacances dans un petit village provençal qui s’apprête à accueillir, en grande pompe, la délégation officielle et le passage de la flamme des Jeux Internationaux.
Gérard flirt avec la fille de l’épicier mais elle aura un coup de foudre immédiat pour le porteur de la flamme lorsque celui-ci arrivera dans le village. Elle décide de s’enfuir avec lui, direction la ville où le bellâtre chevelu va participer à certaines épreuves. Nos quatre acolytes vont donc partir sur leurs traces et se retrouver à participer, eux aussi, aux Jeux.
Pour moi, ce film est dans le top 3 des Charlots au cinéma. Le Grand Bazar (1973) reste mon préféré, devant Les Charlots contre Dracula (1980) et celui-ci. Oui, certes, il y a toujours à boire et à manger dans les films des Charlots, tous les gags ne sont pas bons, ils vont du grotesque au jouissif. En tout cas, ça me fait rire, encore et toujours, et ça me fait passer un excellent moment. Que demander de plus ?