Au-dessus de son lit quadrillé bleu sans housse, il y a une moto en papier glacé qui flotte, elle brille lui ride mollement un pied à terre de son village côtier. Droit devant il y a la ville et cet écran de cinéma qui diffuse un vieux film américain, The Drunken Master et s'il essaye de traverser l'écran il tombe de 11 étages avec ses deux amis.
Et puis c'est l'espoir d'un commun qui s'abîme dans la frayeur du retour, et il faut retourner à l'appartement qui est maintenant vide, à ces nuits où elle ne sort plus, aux pluies terribles de solitude, il regardera cette terrasse comme sa mère le trou dans la tête de son mari. Tout le monde part, il faut retourner chez soi.