un film extraordinaire qui nous fait passer (plusieurs fois) du rire aux larmes

l'histoire
Une enseignante d'histoire (Ariane Ascaride) propose à ses élèves de participer à un concours national d'histoire, celui de la Résistance et de la déportation. Les vannes fusent, personne n'y croit, pas même le directeur du lycée. Mais grâce à l'obstination de la prof, le projet prend forme...
l'Histoire du film
Cette success story, décrite par Ahmed Dramé dans un livre (1) , a été réalisée avec de jeunes comédiens et de vrais élèves du lycée de Créteil. On y voit une jeunesse métissée, enfermée dans l'échec ou le dédain arrogant, s'ouvrant peu à peu à la curiosité et à une forme d'estime de soi. C'est très démonstratif et, pour tout dire, limité d'un point de vue cinématographique. L'émotion naît grâce à Léon Zyguel, survivant d'Auschwitz, et à son témoignage face aux élèves bouleversés.

un film (une grosse gifle qu'on prend)
dans ce film on nous montre une prof qui en veux qui se donne pour ses élèves (fiction du monde réel) elle leurs apprends le respect à vivre ensembles malgré leurs différences, à travailler et ce passionner pour ce qu'il font leur montrer que seuls eux peuvent décider d'où ils iront.
comme une grosse majorité traitant de ce sujet (les nazis et leurs camps de la mort)
ce film nous fait nous sentir tout petit face au quelques survivant de l'horreur
le témoignage de Léon Zyguel (qui "joue" son propre rôle) est une scène du film qui vous serre le cœur.
la lecture du serment des déportés fait par la comédienne Noémie Merlant est fait avec une telle poigne qu'on s'y croirai réélement
on dit toujours au gens qu'il faut oublier le passer et aller de l'avant cette partie du passer au contraire il ne faut pas l'oublier et merci à tous ceux qui on à cœur de nous faire partager cette horreur de façon plus humaine à travers des films comme celui ci qui résume très brièvement cette periode mais qui aussi nous montre que dans le présent les choses n'ont que tres peu bouger
l'horreur est juste différente aujourd'hui.
biensur il n'es plus question d'extermination "d'une race inférieur" car cela n'existe pas en soi

un film qui fait du bien et qui montre ceux que la plus part d'entre nous souhaite