Que pour en parler faudrait que je me fasse mal au dos.
Fin de la critique.
Comment ça c'est de la merde ? Mais je me mets aux couleurs du film moi monsieur !
Bon plus sérieusement, je vais parler brièvement de ce film:
Après le succès incroyable Des nouvelles aventures d'Aladin, il fallait bien une "suite" à ce chef d'œuvre et donc rendre hommage noblement à un autre personnage Disney, il y'a encore tant de Disney à souiller et si peu de temps pour les réaliser... Le film tient ses promesses, il est dans la lignée d'Aladin mais comme dans beaucoup de cas, le premier film est meilleur. Il réussit l'exploit d'être pire et franchement j'aurais pas cru que c'était faisable. Il me semble que j'avais au moins ri deux ou trois par inadvertance devant Aladin et son charismatique Kev Adams, ici je n'ai même pas décroché un sourire.
Parlons un peu des personnages, Le prince est un gros beauf abject égocentrique, mais Cendrillon tombe quand même amoureuse de lui, quant à elle ce n'est qu'une femme sans caractère qui ne tente de séduire que par son physique, elle se fait d'ailleurs doublé le volume de ses seins pour être sûre d'attirer l'attention du prince, on en est là en 2018... Le film est d'ailleurs très sexiste, même si à la fin il y'a une morale bien pensante qu'on voit venir après deux minutes de film...
L'humour ne fonctionne pas, on voit les gags arrivés à des kilomètres et c'est vraiment au ras des pâquerettes, de l'humour gras en somme.
Je suis bien content de voir qu'il y'a peu de notes pour ce film, il a floppé au cinéma et c'est tant mieux, ce genre de films est néfaste pour le cinéma et l'environnement. Il n'y a absolument rien à sauver dans ce film, tout est mauvais, passez votre chemin. Si vous voulez une bonne comédie française sortie en 2017 préférez Santa & cie et dans une autre mesure Au revoir là haut (comédie dramatique), heureusement le cinéma français n'est pas encore mort.
Même si en ce moment on est servis avec toutes les adaptations de bande dessinée, deux minutes de bande-annonce suffisent à vous dégoûter de la vie (Gaston Lagaffe).
J'espère simplement qu'un jour je verrai une comédie du niveau de La cité de la peur ou du Dîner de cons au cinéma, l'espoir fait vivre je sais...