Adapté du roman, réécrit et réalisé par Franco en numérique sphérique format analogique avec un budget minuscule, dédié Tv\Vidéo. Les nuits de Dracula commence par le périple du jeune avocat en se rendant au château du comte, dans une réalisation audacieuse, qui respecte fidèlement le roman avec des décors somptueux. En arrivant au château, le personnage découvre les éléments surnaturels qui débutent les relations avec la violence sanglante habituelle chez les créatures de la nuit.
La mise en route prolongée détaille les divers aspects du roman dans une ambiance surnaturelle, bien que les effets ne soient pas présents, ce qui entraîne l'évasion du personnage piégé par le comte. Les dialogues ne contribuent pas à la performance des acteurs dans une lente reconstitution qui réunit les personnages, en ouvrant la porte au maléfice. Le ballet sinistre se fond dans l'illusion du mythe pour remonter le passé dans le domaine médical, en déclenchant une lente agonie des personnages.
Le style d'époque et le manque de budget entraînent une intrigue fastidieuse, avec des effets médiocres qui plongent dans l'horreur. Les événements du roman se succèdent dans une vision limitée, ce qui déclenche la confrontation contre les forces des ténèbres. La reconstitution immuable commence l'affrontement en se référant aux détails du roman, ce qui accélère l'intrigue dans une frayeur d'époque, lors d'un long dénouement fantasmagorique, pour cette œuvre qui propose un téléfilm sans saveur, en faisant défiler le mythe avec des facilités énormes, malgré quelques belles images.
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