On peut considérer le film comme une variation érotique sur le thème de Faust. Jess Franco est loin d'être ici à son meilleur et la réalisation est vraiment quelconque, digne d'un mauvais téléfilm (les séquences au casino et dans la boîte de nuit notamment). De plus, le film souffre manifestement, comme le fait remarquer Alain Petit dans son ouvrage consacré au cinéaste, d'une post-production bâclée et notamment d'un doublage absolument lamentable. Howard Vernon ne fait vraiment que passer et n'apparaît guère plus de deux minutes. On peut tout de même remercier Le chat qui fume d'avoir restauré, au mieux possible, cette curiosité qui ne plaira qu'aux fans de l'auteur.