Inspiré du roman, réalisé par Scott en numérique anamorphique panavision avec un budget minuscule, c'est un succès dédié vidéo. Les prédateurs commence par une atmosphère trash, underground et violente, avec une réalisation académique qui s'enlise dans un complexe scientifique. L'intrigue s’éclaircit avec une accélération incroyable en combinant les 2 maladies des créatures à travers le temps.
Les thèmes obscurs et les passages kitsch s'enfoncent dans un rythme répétitif, alors qu'a contrario les éléments sont captivants. Le récit tranchant tourne autour de sa proie comme une boucle éternelle au féminin pour venir libérer les révélations du mythe, lors d'un dénouement saignant, infernal, mais prévisible, pour cette œuvre qui possède un mysticisme fade, malgré la performance remarquable de l'acteur.
Entrées Salles France : env. 710.000 - Entrées Salles Usa : env. 1.890.000 - Entrées Salles Allemagne (Ouest) : env. 1.890.000.
> https://youtu.be/88J480-a8Hk?si=U9_WqEXgfKtu_rRR