La nouvelle adaptation du film de Don Siegel par Sofia Coppola , m'a laisser , moi spectatrice , mitigée .
Pendant la visualisation du film nous assistons à une véritable transformation de l’œuvre originale . Ainsi , de nombreux indices caractéristiques du cinéma si singulier de la réalisatrice offre au spectateur une redécouverte de la production . Tel que les scènes de silence ou nous percevons l'ennui ou la tension que ressente les personnage puis cette fascination pour le luxe et la beauté féminine que nous retrouvons dans Virgine Sucide , Somewhere , Marie Antoinette ou encore The bling ring .
Par ailleurs , malgré cette vision bien subjective du cinéma qui plaira a tout les amateurs de la cinéaste , un manque d'équilibre se fait ressentir dans la construction de l'intrigue .
En effet , suite à l'aventure entre le caporal (Colin Farrell) et Alicia (Elle Fanning ) donc l'élément perturbateur , les actions s’enchaînent de façon très accéléré et viennent contredire l’atmosphère du début et de la fin de la projection .
En fin d'analyse , nous constatons une ambivalence entre la beauté du du décors et la difficulté qu'a le spectateur à cerné l'état d'esprit des personnage pris dans l'engrenage des péripéties .