Les quelques visions des quatre cavaliers de l’Apocalypse résument à elles-seules la dramaturgie du film. Après des premières minutes époustouflantes en Argentine, l’action se déplace à Paris pendant la Seconde guerre mondiale. Le talent qu’a Vincente Minnelli de filmer les plans extérieurs est exceptionnel et ne sera égalé que par très peu de réalisateurs par la suite (je pense à des Leone, Melville ou encore Coppola).
Une œuvre qui mériterait d’être plus connue qu’elle ne l’est. De mon côté je dis merci à Metallica (dont une des chanson s'intitule "The Four Horsemen") et à Joe Pesci (dont le personnage conseille le film dans "Il était une fois en Amérique") de m’avoir donné l’envie de voir "Les Quatre cavaliers de l’Apocalypse".