Les Saisons du plaisir par Alligator
Plaisante comédie mais sans plus, si ce n'est la performance de Jacqueline Maillan, explosive en quinquagénaire bridée sexuellement par sa mère. Le reste laisse un goût d'inachevé, de bâclé. Certes, chez Mocky, ce sentiment peut apparaitre dans tous ses films, mais parfois cet pseudo-amateurisme passe volontiers pour un trait d'auteur plein de charme et de frivolité. Ici, non pas, mais cela reste une impression personnelle de vacuité chez les personnages, dans l'histoire même. Je m'en passe volontiers.