Inspiré du roman, réécrit, produit et réalisé par Rossen en numérique sphérique noir et blanc avec un budget minuscule, c'est un gros succès. Lilith commence par une résidence curieuse et son nouvel arrivant en quête d'un travail, dans une longue visite de l'asile avec ses personnages. Les vieilles images et le rythme lent vagabondent pour lancer l'histoire dans l'étrange établissement.
L'encadrement des activités plane avec cette légère différence qui fait doucement avancer une relation entre ses personnages. Le récit se forme entre un personnage et la direction, qui fondent l'analyse sur l'issue d'une patiente étrange. Les enjeux se confondent vers la vie comme une évasion de la romance, en démontrant la formule d'une rupture. Les sentiments à leur tour tombent dans l'amour, en se transformant sur des choses d'adultes, lors d'un long dénouement conflictuel, pour cette œuvre, simple et élégante, malgré un montage trop lent.
Entrées Salles France : Env. 60.000 - Entrées Salles Usa : Env. 2.480.000.
> https://youtu.be/_anaORLKfqs