Voilà le deuxième effet Obama sur le cinéma. Alors qu’il prête serment pour la 2ème fois ce mois de janvier voit fleurir des histoire sur les noir américain et leur lien avec la nation. Après Django, voici Lincoln ! Car au lieu d’avoir un biopic sur le président, on assiste d’avantage à un biopic sur le 13ème amendement.
Notre culture anti-américaine ou plutôt notre absence de culture américaine permet-elle d’entrer pleinement dans une histoire assez longue et plutôt technique ? Il est vrai que Spielberg nous avait habitué a des film plus « punchi ! ».
La performance d’un Daniel D-Lewis, mué en président américain sensible et stratège, est remarquable. Il est Lincoln jusque dans sa démarche.
Amateur d’histoire et de beau cinéma, c’est pour vous !