La comédie romantique par excellence ,C’est léger et sucré comme un bonbon
L’histoire est simple
Nous suivons le parcours de multiples personnages dans une histoire ou finalement le fil conducteur est l’amour, Ou ce qui ressemble à de l’amour
Le numéro de Hugh Grant dans le rôle d’un 1er ministre anglais qui craque pour sa jeune collaboratrice est rafraîchissant, même si totalement hors du temps « politique » ..
Mais c’est aussi cela qui est bon,
Car bien entendu David Cameron n’est pas du tout comme cela, (Imaginons celui-ci bouger le popotin comme hugh, et la notre journée va changer :)) je vous le garantis
Alors rêvons un peu, et laissons-nous allez à un peu plus de légèreté,
Love actually le permet et c’est déjà pas si mal ..
Je ne reviendrais pas sur la multitude de personnages et d’histoires croisées, ça serait beaucoup trop long et fastidieux à narrer.
Love Actually est une sorte de marché de Noël (cela se passe d’ailleurs quelques semaines avant)
Où nous trouverons de tout…
Le pire et le meilleur, et vu que nous sommes dans une petite bulle légère,
(Et oui c’est le fameux effet secondaire de la fameuse « bluette romantique »)
Nous aurons tendance à garder le meilleur
A noter une distribution « cadeaux de Noël »
En plus de Hugh Grant, nous avons la très émouvante Emma Thompson,
un Colin Firth sans Bridget Jones,
un Liam Neeson qui n’éliminait pas encore tous les méchants de la terre,
Laura Linney,
Billy Nighy en rocker dépassé et has-been
et un excellent (et regretté) Alan Rickman,
J’en passe car la liste est longue..
Mais à retenir également, en employé très (trop) minutieux, Mister Bean en personne,
l’exaspérant Rowan Atkinson qui a un sens du papier cadeau qui défit toutes règles de l’art du papier cadeau …
Love actually c’est donc tout cela, c’est de la guimauve, c’est léger, c’est vaporeux, c’est bourré de bons sentiments,
Bien entendu, nous entrons avec cette comédie romantique dans l’excès coté je t’aime, oh oui je t’aime..
Mais de temps, en temps, entre les dinosaures, les sérial killer, voir Terminator contre Godzilla,
Il n’est pas désagréable de s’évader dans un univers qui n’existe pas.
Et n’en déplaise aux esprits grincheux, ce film n’est pas à analyser,
juste à regarder en sirotant une bonne boisson alcoolisée (avec des bulles éventuellement)
oui mais pas seul …
Et on peut réitérer l’opération tous les weekend par exemple
Le seul effet secondaire que l’on risque c’est la petite larme, ou le sourire stupide sur le visage ..
Mais parfois qu’il est bon d’être un être humain stupide car juste heureux.
Love actually c’est juste cela, en matière de cinéma aucune révolution annoncée
C’est juste bon à déguster, sans aucune modération