Cette musique d'ambiance, cette musique qui balance, ces quelques paroles tristes, ces douces mélodies, l'amour est exposé.
La vie... La vie démontrée, expliquée et observée. Récit allégorique d'une intelligence magnifiant bien plus que ses acteurs, Love Exposure se trouve sur son piédestal, indétrônable, rusé et à l'affût, Sion Sono domine l'Asie, du haut de son talent fortement acclamé.
La folie prend la place de tout, l'absurdité prédominante dans le joli petit croissant qu'est la vie, un récit logiquement triste mais tellement riche, comme l'imagination de Sion.
Ton prénom ? Femme... Je pige pas... peut être que je suis gai alors, j'aime Sion moi, rien à battre de Scorpion.
J'emmerde tout ce monde farfelu et inutile, moi tout ce que je veux, c'est Yoko, le message est passé ?
Quoi qu'il en soit, c'est parfait, FOU !! Une vie passée dans ce petit univers inchangé, le crescendo de la folie, de ces douces mélodies, de cette amour fini. Le temps passe, trop vite, 4 heures, ouais mon cul, 2 heures ça me paraissait déjà suspect !
Soit !
Quand c'est aussi juteux, je bouffe le pamplemousse moi ! Et putain, c'est poétique, ouais, l’érection c'est poétique, sauf quand on la coupe !
Vous me direz je suis fou, donc un film de fou, fait par un fou, ne peut que plaire aux fous, et bien oui ! (aparté inutilement inutile)
Un verre de jus de myrtille qui s'est fini bien trop vite, dramatique et déconcertant, ça saute aux yeux, c'est bandant et magnifiquement bien dosé, Magique, Impressionnant, Unique, je bouffe mes chaussures si l'exploit est renouvelé.
EDIT : Mes chaussures ont un goût de piment.