Critiques de Ma vie, ma gueule

Cinephile-doux
5

Des failles ouvertes

La mort a frappé Sophie Fillières avant qu'elle puisse procéder au montage de Ma vie ma gueule. Ses enfants s'en sont chargés et sont sans aucun doute restés fidèles à l'esprit du cinéma de leu mère,...

le 27 août 2024

8 j'aime

Aude_L
7

Très belle ouverture de la Quinzaine !

Ma Vie, ma gueule est porté par une Agnès Jaoui inédite, enthousiaste, sincère, triste, complètement à fleur de peau de son personnage dépressif qui ne veut pas guérir, mais ne veut pas pour autant...

le 28 mai 2024

8 j'aime

Sabri_Collignon
7

Agnès Filières, sa vie sa gueule

Une Agnès Jaoui en majesté incarne un double fictionnel de la cinéaste Sophie Filières, dans une élégante loufoquerie pour aborder des sujets graves avec distance et légèreté (non pas au sens...

le 3 oct. 2024

3 j'aime

Cinema_lice
3

Critique de par Cinema_lice

Poétique à l'image de son personnage principal. Le film fais le pari de parler des relations filiales, de la dépression, de la vieillesse, de la mort sous l'angle de la comédie. Malheureusement, je...

le 22 juil. 2024

2 j'aime

1

Zebulmic
4

Critique de par Zebulmic

Longuet et un peu ennuyeux pas toujours cohérent

le 22 oct. 2024

1 j'aime

Cizka-Letteri774
6

Sur le fil

Quelle sensibilité ! Quelle poésie ! Quel trouble sur la réalité ! Il faut avancer parfois par hasard et pourtant tout pourrait nous retenir les collègues le passé les enfants la peur de l’avion...

le 11 oct. 2024

1 j'aime

Ermeline
6

Critique de par Ermeline

Voyage à l'intérieur d'une tête qui présente des troubles mentaux. . Déroutant, ce film sort des routes du cinéma habituel. L'absurdité, le manque de structure de la pensée et de l'idéification du...

le 30 sept. 2024

1 j'aime

Lone_Sloane
7

Combien de putain de douches jusqu'à la mort ?

Film posthume pour Sophie Fillières qui eut le temps de finir le tournage mais pas la post-production et le montage qui furent l’œuvre de ses enfants Adam et Agathe Bonitzer et de la productrice...

le 29 sept. 2024

1 j'aime

Radiohead
5

Joyeusement déprimant

Si la folie douce du personnage est d’abord le signe inquiétant d’une déprime, elle se voit requalifiée à mi-parcours comme une exploration plus poétique. Faute d’avoir prise sur les choses, "Barbie"...

le 24 sept. 2024

1 j'aime

BigDino
6

en finir avec les dites belles gueules

Sophie Fillières creusait dans le cinéma français un sillon assez singulier. Des films à l'absurde tranquille, gentiment incongrus. Aimables et modestes, à l'image de leur réalisatrice si tôt...

le 24 sept. 2024

1 j'aime