Cassandra Webb développe le don de prescience.
Déjà, le concept d’étoffer l’univers de Spider-Man sans Spider-Man est calamiteux. Les filles qu’est censée défendre l’héroïne, sont affreusement caricaturales et gonflantes. Ne vous fiez pas à la bande-annonce, car il y a peu ou prou de femmes portant de masques. Le métrage atteint un apogée consumériste en faisant se dérouler la scène finale sur un panneau publicitaire Pepsi. Les dialogues sont affligeants, à l’instar de mon titre. Néanmoins, je voudrais signaler qu’on est loin de la catastrophe décrite par les médias et les réseaux sociaux ; il possède même une scène qui peut se targuer d’être inquiétante (celle dans le train qui est des plus cocasses en même temps, car elle n’a pas véritablement lieu).