Fab Film
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le 26 oct. 2012
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Paul, on ne scripte pas un film en rêvant. Ce n'est pas en voulant recréer le rêve qu'on y est fidèle. La Beatlemania avait dû rendre l'Angleterre aveugle jusqu'à la cinématophobie pour que ce machin de cinquante minutes voie le jour. Il y a des éclats d'inspiration, mais ils sont disséminés avec aussi peu d'art et d'allure que des éclats de bois. Il n'y a pas d'histoire, les idées sont bêtes et mal mises en images, et l'on était en telle panne d'inspiration pour les transitions qu'on y a substitué des cartons moches, assez longs pour masquer l'absence totale de lien entre une séquence et la suivante. Les Beatles eux-mêmes s'y font symboliques, vecteurs absents d'un surréalisme oubliant d'être drôle la moitié du temps. Seule réussite, le micro-clip de Fool on the Hill, simple mais visant juste, conduit en France par McCartney dans une quasi-illégalité ; il y en avait bien besoin pour donner l'étincelle à cette mèche mouillée.
Créée
le 12 nov. 2018
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