J'avais un petit peu peur que Donzelli n'attrape le syndrome "Bekhti-Nakache" : une comédie qui marche, on prend les mêmes, et on recommence. En moins bien. Après "La guerre est déclarée" (que j'avais trouvé moyen +), c'est le côté "objet cinématographique non identifié" de Main dans la main qui m'a tenté.
Et je n'ai pas été déçu.
C'est pour moi le point fort du film, tantôt comédie, tantôt fantastique, tantôt romantique, tantôt dramatique... Donzelli jongle à merveille avec les genres, bien aidée par un trio Lemercier-Elkaïm-De Staël au top de sa forme.
Mention spéciale à Lemercier qui nous offre un oilpé intégral à faire pleurer pas mal de jeunes filles.
Réussi.