Sympathique pitch.


Le scénario tient la route même si ça aurait pu être poussé plus loin. Les deux personnages féminins sont intéressants et bien exploités. Les situations sont bien trouvées mais les résolutions pas toujours satisfaisantes. Le tout manque de conflits également puisqu'on suit les mauvaises blagues de ces gamines qui ne subissent que trop rarement un contre-coup (le plus souvent ce sont les hommes émoustillés qui veulent les violer et dont elles doivent s'échapper).


La mise en scène est un peu brut, semble manquer de moyen ; le découpage reste lisible même si parfois maladroit. Le montage est correct. Les acteurs ne sont pas géniaux mais ça fonctionne avec l'ambiance générale.


Bref, petit film intéressant.

Fatpooper
6
Écrit par

Créée

le 7 janv. 2023

Critique lue 43 fois

2 j'aime

Fatpooper

Écrit par

Critique lue 43 fois

2

D'autres avis sur Mais ne nous délivrez pas du mal

Mais ne nous délivrez pas du mal
EvyNadler
7

Ces filles n'ont pas quinze ans, tout va bien.

Pour dissiper tout malentendu. Ces filles avaient plus de 18 ans lors du tournage, inutile donc de vous tarauder l'esprit comme moi - si, pendant douze secondes j'étais pas bien. Parenthèse faite,...

le 14 juin 2015

18 j'aime

3

Mais ne nous délivrez pas du mal
Moizi
8

Misogynie à part, le sage avait raison...

Lorsque Rozier rencontre le couvent de la bête sacrée, ça donne Mais ne nous délivrez pas du mal. C'est un film super excitant sur le papier, réalisé par l'auteur de Charlie et ses deux nénettes avec...

le 23 nov. 2014

15 j'aime

Mais ne nous délivrez pas du mal
clairecyrkle
8

Critique de Mais ne nous délivrez pas du mal par clairecyrkle

Le synopsis peut en rebuter plus d'un : deux petites gosses de riches dans la campagne des années 70 qui s'amusent à vouer un culte à Satan, réalisé en plus par Joël Séria qui reste un cinéaste assez...

le 8 mars 2012

10 j'aime

2

Du même critique

Les 8 Salopards
Fatpooper
5

Django in White Hell

Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...

le 3 janv. 2016

122 j'aime

35

Strip-Tease
Fatpooper
10

Parfois je ris, mais j'ai envie de pleurer

Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...

le 22 févr. 2014

121 j'aime

45

Taxi Driver
Fatpooper
5

Critique de Taxi Driver par Fatpooper

La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...

le 16 janv. 2011

108 j'aime

55