Lors d'un beau jour d'été, quelques personnes d'un petit bourg campagnard du centre de la France nommé Malevil, le maire, le pharmacien, des cultivateurs, des commerçants, une vieille femme et un simple d'esprit, sont regroupés dans une grande cave viticole pour débattre d'un banal sujet administratif.
Soudain, la radio qu'écoute le benêt n'émet plus aucun son. Puis on entend une énorme explosion accompagnée d'une violente lumière et ils se retrouvent tous piégés dans cette cave. La civilisation autour d'eux a été détruite et les survivants essaient de rebâtir une civilisation à partir de ce qui leur reste dans leur environnement immédiat. C'est à la fois un film post-apocalyptique, une dystopie et un huis-clos.
Le film s'éloigne progressivement du roman de Robert Merle et sa fin est complètement différente. L'auteur, estimant que l'esprit de son livre avait été dénaturé, demanda à ce que son nom ne figure pas au générique, où seule apparaît la mention : inspiré librement du roman Malevil (éditions Gallimard).
Une pièce de théâtre "Ceux de Malevil", a été adaptée par Olivier Merle, le fils de l'auteur, et a été jouée à Paris jusqu'en mars 2012.
Ce film m'avait fait une grosse impression lorsque je l'avais vu. J'attends de le revoir pour me refaire une opinion.