Maria Schneider est engagée sur le tournage de Le dernier tango à Paris, elle se confrontera à la consécration, à la notoriété et à l’opprobre causé par une scène de viol.
Maria nous emmène dans une aventure humaine où la splendeur fraye avec la honte, où la concupiscence masculine honnit les corps féminins, où les proches demeurent inefficaces dans la lutte contre la suprématie de la drogue, où le salut passe par l’oaristys. Le métrage met en évidence les affres du septième art antérieurement à #Metoo. L’actrice représente une femme victime d’une autre époque, d’une culture du viol. Les dialogues sont souvent spirituels par exemple « dites du bien ; dites du mal, mais parlez de moi » ou « je veux faire des films, pas vendre mon cul ». Ils comprennent même une tirade foncièrement féministe qui débute ainsi « les films sont écrits par des hommes pour des hommes… ».