Écrit, montage et réalisé par Romero en superanalogique sphérique avec un budget minuscule, c'est un échec dédié vidéo. Martin commence par un personnage qui s'engage dans le train avec des méthodes criminelles sur une ambiance malsaine abominable. L'intrigue avance en continuant le voyage dans une correspondance avec peu de détails qui ramènent au mythe. Une nouvelle vie de famille se dessine avec ce personnage terrible, en proposant une réalisation spéciale.
Les effets kitsch poursuivent le style expérimental dans un vagabondage qui retombe sur la victime parfaite, pour revenir à la légende. Les relations évoluent en gardant l'atmosphère mystérieuse qui éveille la folie meurtrière du personnage, pour récidiver l'abominable rituel. L'épouvante fantastique, affreusement kitsch, sombre dans un affrontement sanglant au cours d'une horrible tuerie.
Le récit revient sur le passé en reprenant toute la mythologie autour du vampire qui s'alterne avec la réalité d'une vie bercée par la religion. Le long trajet surréaliste du personnage multiplie les directions de l'univers léthargique en poursuivant le carnage du vampire. Le destin referme l'horreur des problèmes familiaux, lors d'un dénouement monstrueux, pour cette œuvre kitsch qui offre une composition spéciale, avec peu d'éléments, mais surtout une violence atroce.
Entrées Salles France : env. 20.000 - Entrées Salles Usa : env. 50.000.
> https://youtu.be/iUJ5tKGTY3U