Jodorowsky, Terry Gilliam, Tarsem ,David Lynch, MELIES, Kubrick, Tarkovsky, Gondry.
Coppola nous offre a nous un avenir dans toutes ses possibilités les plus inexplorées ni découverte à ce jour. Des perspectives dont on ne peut encore QUE s'imaginer sans vraiment les comprendre. Peut importe la critique, c'est bien notre dernier oeil qui s'est ouvert devant MEGALOPOLIS.
On a survécu à "La Montagne Sacrée", "BRAZIL" ou "Muholland Drive"... En 2024 c'est Coppola qui régale.
Et c'est dèjà Admirable.
(Il me faudra surement plusieurs années pour compléter cette critique, et mon avis global sur cette oeuvre !)
Cesar se voit perdre ses pouvoir lorsqu'il perd l'amour. Tout puissant mais pourtant effrayer face au vertige de la ville. Se pourrait-il qu'il comptait bel et bien mourrir lors de cette scène d'introduction? Sa femme n'ayant jamais été retrouvée, son art et son pouvoir auraient très bien pu le perdre également dès la premiere scène....)
L'artiste n'est donc rien sans sa muse. Et c'est au spectateur à présent de trouver la sienne dans un monde où "Francis" n'est pas né, laissant place une soeur destinée elle aussi a inspirer de nouvelles idées dans un nouveau monde (dernière scène du film).