Julia est tiraillée entre la vision conservatrice de son père, le maire de New Rome, et celle utopiste de son amant.
Exceptionnellement, je me suis inspiré d’un synopsis issu de Wikipédia et il ne me satisfait guère complètement tant il n’honore pas la complexité narrative. La balourdise allégorique et la plénitude thématique fort ambitieuse ne m’ont nullement gêné. Le parallèle entre la Rome antique et New York est assez patente : rien n’a changé, panem et circenses est toujours d’actualité. L’œuvre est un véritable capharnaüm amphigourique et foutraque tout droit sorti de l’imaginaire dense d’un jeune cinéaste octogénaire. Un film oxymorique en amalgamant les termes péplum et futuriste. Bref, un métrage mégalomaniaque formidablement visionnaire, positivement ébaubissant qui laisse agréablement pantois.