Bah, c'est du Olivier Baroux. Je me demande comment il arrive à financer ses projets vu la quantité de casseroles qu'il commence à se trimballer.
Passé une intro inutile dans un monastère, Menteur propose une succession de catastrophes résultant des différents mythos proférés par Jérôme au fil de sa vie. Un appartement inondé. Un voisin tueur en série. Un pays fictif : le Canichtan. Ce qui paraît effarant, c'est que tout le monde ait gobé ses mensonges durant toutes ces années mais bon passons.
Bon point que je veux bien mettre au crédit de Baroux, c'est l'humour absurde (par moment) rappelant l'époque KDO et le romantisme qui se dégage de Menteur grâce à la fraîcheur de Pauline Clément. Ça me rappelle Ce soir, je dors chez toi. Sa seule réussite.