François Ruffin et Borat ne sont pas si distanciés dans leur manière de mettre leurs films en route. Fiction d'un voyage pour une cause réelle et mise en abyme d'un voyage réel. Paris vers le Nord de la France. Et Kazakhstan vers Etats unis.
Moins grandiloquant et provoquateur pour le français, mais tout aussi implacable dans la qualité de la revendication.
L'un pour le droit aux valeurs morales du travail (pour Merci Patron) et l'autre pour les valeurs politiques sous jacentes aux médias lisses et verteux envers les machines du système capitaliste et du pouvoir.
L'entreprise liée aux films préscrit ici. Sont similaires. LVMH pouvoir sur le peuple et les travailleurs et la politique américaine batie sur le pouvoir de la loi du plus fort ou pourrait-on dire du plus idiot.
La revendication du pouvoir et du peuple, des femmes, des LGBTs, des noirs, des SDF se fait par le biais de ces films là. Malgrès leurs provocations parfois à l'extrème (Borat).
Il ne faut se séparer du contexte par contre. L'inlassable évolution du côté positif, est possible et existe bien. Ce qui nous montre les révélations des deux films et les conséquences sur la conscience populaire.
Ce qui nous entraine à nous dire: Que fais t-on ? Dans un cas où nous perdons notre droit à vivre décement sans injustice ou de ne pas se faire avoir par la notériété d'un architecte du pouvoir possésif et négligeant de toute morale que nous devons avoir.
Ces fims sont revencateurs dans le temps. Pour montrer l'exemple, au fil des siècles peut être ?