Une voiture des années vingt conduit Gil à cette époque où il y rencontre une myriade de célébrités.
Woody Allen est éperdument entiché de cette ville et il le prouve d’une splendide façon avec ce métrage. Le syndrome de l’âge d’or est inventé pour l’occasion, ce serait une nostalgie pour des temps inconnus tout en étant persuadé que c’était immanquablement mieux avant (commentaire qu’on doit très certainement assener au cinéaste). Dans la veine de La rose pourpre du Caire, on voit la capitale luminescente, ennoblie, fantastique et onirique.