Faut bien que quelqu'un se colle à parler du troisième larron qui crève l'écran dans ce film, du troisième monstre sacré qu'on ne se doutait pas encore de sa carrière, j'ai nommé John Williams.
Disons, pour ceux qui connaissent le film, que, dans le genre, il tient la comparaison avec Ennio Morricone de la même manière que Nicholson tient la comparaison avec Brando et c'est pas rien.
Le film en lui même est plus que correct et la performance de Brando est démente. Je trouve néanmoins dommage la cassure dans le rythme au début du troisième tiers et la résolution rapide des problèmes détaillés tantôt, en particulier en faveur de l'omniscience du régulateur qui a un coup d'avance sur la plupart des brigands sans trop savoir pourquoi.