Très agréable à regarder , ce film rassemble un tandem trépidant. La première qualité : c'est Catherine Zeta Jones bien sûr . Mais, on retrouve la présence d'Art Garfunkel dans le rôle du père du babysitter. Catherine Zeta Jones , 40 ans, quitte du jour au lendemain son mari infidèle et sa petite vie tranquille de banlieusarde pour s'installer à New York afin de recommencer sa vie . Cumulant les rencontres à échecs , elle jette son dévolue sur son baby-sitter de 25 ans . Justin Bartha avait quand même 30 ans lors du tournage et il parvient vraiment à être crédible. Dans ce film sacrément bien mené, le rythme du film est soutenu tout le long par de belles notes d'humour dans un contexte plutôt dramatique. Catherine zeta Jones est vraiment attachante. Je regrette un petit peu tout de même le manque de détails dans la relation de couple avec le père de ses enfants. La fin reste sympathique et un peu trop convenu. Le film pose la question de la condition de la femme qui a sacrifié sa carrière pour élever ses enfants et qui se retrouve sans ressources lors de son divorce mais aussi celui de l'inévitable différence d’âge. Le film est agréable à suivre avec des situations plus cocasses que véritablement dramatiques. Le titre américain c'est The Rebound, soit "repartir" ou "rebondir". On a le droit à une jolie histoire d'amour. C'est mignon et plein de bonnes idées. La séquence au début du film, où Catherine Zeta-Jones rencontre un mec , premier rencard , sorte de beau gosse chiropracteur ou osthéopathe est hilarante. J'ai beaucoup ri aussi aux répliques des enfants après le rencard entre nos deux héros. Mon baby sitter s'avère moins léger qu’on le croit même si le film se veut léger et drôle.