Résumé : Le Dr Morbius a lutté contre une maladie rare qui le pousse à trouver un remède, grâce à son prix Nobel de scientifique. Il fabrique un sérum à partir d'Adn de chauve-souris vampire, qu'il va tester sur lui, mais les effets secondaires apparaissent. Avec l'augmentation de son potentiel Morbius doit lutter contre la soif de sang, et découvrir comment il peut utiliser les nouveaux pouvoirs.
Histoire : Morbius apparaît dans les années 70, il combat Spider-man, devenant le premier méchant aux pouvoirs surnaturels, car avant c'était impossible. L'acteur principal adore ce rôle offrant un personnage qui use de transformation et des cascades incroyables. Le concept est un antihéros, et non le méchant des origines Marvel, tandis que pour les cascades, le réalisateur est assisté par l'un des plus grands cascadeurs du cinéma d'action. Dans Marvel, Morbius s'est retiré des spider-man pour devenir une créature que tout le monde adore, avec sa dualité entre son personnage et son côté vampire. La réalisation insiste sur des actions qui conservent une forme de réalisme, et le casting se réduit à 5 personnages. Pour les effets, la réalisation souhaite innover dans les transformations de monstres, car le grand défi c'est l’écholocation et les pouvoirs extrasensoriels. Réalisé avec un budget de 75m$, il rapporte 175m$ mais ne reçoit aucune récompense.
Équipe : Réalisation de Daniel Espinosa connu pour Life origine inconnue. La production d'Avi Arad connu pour L'incroyable Hulk, X-men, Lucas Foster connu pour Le mans 66 et Matt Tolmach connu pour Venom. La musique de Jon Ekstrand connu pour Easy money. Les effets d'Elia Popov connu pour Sos fantômes l’héritage. Côté casting, Jared Leto, Matt Smith, Adria Arjona, Jared Harris, Tyrese Gibson, Al Madrigal.
Avis : Le sujet sur les recherches d'un remède pour une maladie incurable aux expériences peu conventionnelles permet des émotions. La transformation du personnage génère des effets aux pouvoirs originaux qui redimensionnent l'image. On retrouve le mythe vampire dans sa partie la plus sombre, avec une réalisation brutale qui permet l'arrivée d'un nouveau personnage de l'univers Marvel.
Critique : Les logos Sony, Columbia et Marvel engagent le puissant générique qui lance l'action dans la jungle avec le personnage devant une grotte étrange. Une capture libère un essaim de chauves-souris, pour remonter dans le passé du personnage avec 2 enfants gravement malades. L'amitié sépare les enfants pour prendre plusieurs directions qui reviennent au présent, durant un prix de médecine. Le rythme dynamique débute l'intrigue des recherches médicales avec l'essai d'un nouveau traitement qui combine l'Adn humain et de chauve-souris comme coagulant sanguin. L'action plonge dans les résultats en regroupant les 2 personnages adultes avec une réalisation qui propose une longue mise en route sur les maladies incurables. L’expérience du sérum se dévoile dans l'injection du personnage qui se transforme en une créature meurtrière avec un style de série B.
Les pouvoirs aux effets spectaculaires déchaînent les mythes du vampire, qui permettent la guérison. Le massacre lance l'investigation du Fbi, en déclenchant la fuite du personnage pour comprendre les effets du traitement, qui se baladent entre guérison et vampirisme. Le style maladroit enveloppe le personnage de pouvoirs d'une chauve-souris qui augmentent ses capacités. Les analyses resserrent les issues en augmentant l'intérêt du récit, qui tombe dans la confrontation des 2 amis. L'opposition des visions entre les personnages s'alterne à l'enquête, en effectuant un changement radical. Les éléments fantastiques accentuent la violence en rassemblant les détails de l’enquête qui engagent le combat. Les effets accélèrent l'aventure des vampires aux pouvoirs prodigieux en libérant les révélations du dernier crime.
La lutte des 2 créatures redimensionne l'action grâce à des images modernes dans le style de l'univers Marvel. La cavale du super-héros referme les enjeux au cœur du mythe vampire pour développer l'affrontement. Les effets incontrôlables donnent naissance au superhéros, dans une dimension fantastique qui accélère l'enquête pour approcher du dénouement. La fureur du remède implacable enclenche le puissant duel final, dans un film qui manque de style et de couleurs avec une légère mise en route au sujet des créatures. Les effets somptueux s'invitent dans l'histoire cohérente d'une confrontation pour transformer l'action en créant la divertissante naissance du superhéros de l'horreur.
> https://youtu.be/zuR4LAxVaL8
Ma 1ère critique du film écrite en 2022 > Produit et adapté de la bd Marvel, réalisé par Espinosa en super6k anamorphique panavision Imax avec un budget énorme, c'est la 23ème recette 2022. Morbius commence par d'impressionnants mouvements de caméra qui lancent l'intrigue du personnage en revenant à son enfance, aux origines de l'aventure. Les éléments se dévoilent sur le thème des valeurs de la recherche scientifique par la fabrication d'un remède, qui referme le passé avec une expérience terrifiante. Les détails libèrent la créature infernale qui bascule à la naissance des superpouvoirs en se reliant au point le plus violent de son mythe. Les événements se combinent à une enquête en regroupant un rythme classique pour ce genre avec les idées sur le destin de son personnage. La confrontation déclenche une violence aux effets sublimes qui sombre dans la folie de ce superhéros des ténèbres. Le carnage accélère l'affrontement en livrant des atroces révélations, lors d'un dénouement puissant et spectaculaire, pour cette œuvre brutale qui assemble les vieilles reliques du vampirisme aux dimensions de l'arrivée d'un nouveau Marvel.