Critique de Mosquito State par grégoreur-de-films
Gros potentiel mais jamais vraiment exploité, l'interprétation du personnage principal manque elle aussi un peu de subtilité c'est dommage !
le 22 mars 2024
3
Dans la catégorie « indispensable du cinéma de genre« , on nomme le body horror ; un artifice hautement graphique, qui peut jouer avec les corps et les voir s’opérer des meilleures transformations devant nos yeux apeurés. La promesse d’un homme-moustique, c’est nombre de terreurs appréhendées, de moments où l’on risque de détourner les yeux. Ce qu’on ne savait pas, c’est qu’en plus de jouer cette carte avec habileté, Mosquito State ajoute à sa lecture un pamphlet très informatif sur la situation boursière, accompagné d’une belle remontrance anticapitaliste. Et ça, avec beaucoup moins d’habileté.
La critique en intégralité : https://onsefaituncine.com/2021/02/09/gerardmer-mosquito-state-plus-dactions-chez-baygon/
Créée
le 14 sept. 2021
Critique lue 56 fois
D'autres avis sur Mosquito State
Gros potentiel mais jamais vraiment exploité, l'interprétation du personnage principal manque elle aussi un peu de subtilité c'est dommage !
le 22 mars 2024
3
Réaction encore trop longue plus de 200 mots: "Le plus étrange des navets. Beauté de certaines images comme le générique les lumières. Mais desservi par un jeu appuyé. Une histoire qui veut dire...
Par
le 12 mai 2023
J'aime le travail sonore autour du bourdonnement du moustique, les ambiances de couleurs, les différents stades de croissance, blood meal, œuf, larve, nymphe et moustique « imago » en...
Par
le 9 févr. 2021
Du même critique
Charlie Kaufman. Le mec réputé pour avoir signé Eternal sunshine of the spotless mind - ce qui lui vaut déjà nos points d'amour éternel - et surtout le scénariste des débuts de Spike Jonze, qui nous...
le 7 févr. 2016
12 j'aime
Les biopic et leurs règles insurmontables qui rendent le tout comme un exercice de style à respecter scrupuleusement plutôt qu'une oeuvre personnelle (Milos Forman, tu nous manques). La prétention de...
le 23 sept. 2015
12 j'aime
Défendre le cinéma français, c'est pas toujours simple. On se retrouve toujours face à cette ribambelle déclarant ne pas vouloir voir un film dès l'instant qu'il est français, généralement les mêmes...
le 15 avr. 2017
10 j'aime