Un polar bien classe, sombre, ambiance dépressive réussie et un final... magnifique.
Marchal termine sa trilogie, descente aux enfers de plus en plus intense et inéluctable. Il est peut-être dommage que l'aspect polar pur ait été un peu mis de côté sur cet opus, au profit de la chute d'un homme ("c'est un homme brisé qu'on est en train d'enterrer vivant"). J'en étais vers 7/10.
Mais cette fin
tout en silence, mis à part les détonations et le prénom Louis qui arrivent à s'en extirper
achève le triptyque et m'amène finalement à atteindre le 8.