Un espace.

Un rêve.

Blanc.

Sombre dans l’horreur.

La réalité ?

Sur le Mullholand Drive au moins.

Violet, bleu, refus d’obtempérer et violence lesbienne.

Moi aussi je t’aime.

Expérimenter à tout jamais. La vie. La mort.

Suis-je un génie ? Je le crois.
Thomas_Dekker

Écrit par

Critique lue 792 fois

11
10

D'autres avis sur Mulholland Drive

Mulholland Drive
Sergent_Pepper
9

“It’s no longer your film”

Mulholland Drive est un lieu emblématique d’Hollywood, une route passant par une colline du haut de laquelle on nous offre un surplomb sur la ville et ses artères lumineuses. L’une d’elle, saignée...

le 19 janv. 2014

191 j'aime

12

Mulholland Drive
Grard-Rocher
9

Critique de Mulholland Drive par Gérard Rocher La Fête de l'Art

En pleine nuit sur la petite route de Mulholland Drive, située en surplomb de Los Angeles, un accident de la circulation se produit. La survivante, Rita, est une femme séduisante qui parvient à...

171 j'aime

37

Mulholland Drive
Anna
4

Critique de Mulholland Drive par Anna

Probablement un des films les plus chiants du monde, où on essaie d'être assez intello pour en dire du bien tout en se gardant d'aller plus profond dans la critique de peur de passer pour un con qui...

Par

le 20 juin 2010

156 j'aime

45

Du même critique

In the Court of the Crimson King
Thomas_Dekker
9

Confusion will be my epitaph.

Magnifique. Sans doute le meilleur album de progressif jamais créé (si l'on met Pink Floyd à part bien entendu). L'album est juste une définition de ce qu'est le progressif ; un album concept symbole...

le 5 mai 2012

46 j'aime

9

2001 : L'Odyssée de l'espace
Thomas_Dekker
5

Kubrick ou le talent de faire croire à son génie à travers une oeuvre nébuleuse et insignifiante.

"2001 : l'odyssée de l'espace, on l'aime ou on le déteste." C'est complètement faux. Il existe un relativisme très fort concernant ce film qui fait que le nombre de 5/6/7 est important sur...

le 24 juil. 2012

44 j'aime

30

La Haine
Thomas_Dekker
3

La haine, c'est comme la banlieue : un cauchemar

Kassovitz s’aime. Il veut être génial et il se croit génial. Le problème c’est qu’il ne l’est pas. Chacun de ces plans est supposé étaler tout son génie. La haine est un navet, je le clame haut et...

le 16 nov. 2012

41 j'aime

47