Nous sommes bel et bien en Angleterre dans les studios Ealing qui ont fait la gloire du cinéma de sa royale majesté des années 30 à 50. Le vétéran Will Hay s'associe au jeune Basil Dearden pour produire des comédies, notamment celle-là, My Learned Friend. Un humour typiquement anglais, un brin macabre, un brin non-sensique, jouant à la fois sur les dialogues, les situations, le visuel (la fin sur Big Ben rappelant Monte-là dessus d'Harold Lloyd) et même sur des numéros de danse (avec Claude Hulbert, sorte de Buster Keaton britannique). Et cela fonctionne, on sourit et parfois même, on rit.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Un film, un(e) réalisateur/trice
Créée
le 8 janv. 2018
Critique lue 247 fois
2 j'aime
D'autres avis sur My Learned Friend
Nous sommes bel et bien en Angleterre dans les studios Ealing qui ont fait la gloire du cinéma de sa royale majesté des années 30 à 50. Le vétéran Will Hay s'associe au jeune Basil Dearden pour...
Par
le 8 janv. 2018
2 j'aime
Du même critique
Le monde appartient aux ambitieux et Oiseaux-Tempête ne nous propose pas un simple voyage post-rock mais une véritable Odyssée dans une musique qui n’a pas encore livré tous ses secrets. Album après...
Par
le 10 janv. 2014
13 j'aime
Il est amusant de voir la promo de Chelsea Wolfe ramer pour définir la musique de la demoiselle : « drone-metal-art-folk » tel est le genre-valise utilisé pour catégoriser la musique de l’Américaine...
Par
le 28 oct. 2013
12 j'aime
Samaria ou Poetry, le cinéma sud-coréen est hanté par les suicidées adolescentes. Nouvelle pierre à cet édifice mortifère, voici After my death, premier film de Kim Ui-Seok. Glaçant. Kyung-min, une...
Par
le 19 nov. 2018
11 j'aime
