C’est l’histoire qui part de pertes : décès de son mari, licenciement d’une entreprise. Mais ce qui pourrait revêtir des allures idéologiques en critiquant le géant Amazon n’en fait rien. C’est un film contemplatif : contemplation du paysage (accentué, dans un premier temps, par une absence de musique), du temps qui passe et de l’âge à son firmament. C’est aussi un quasi documentaire sur ces nomades, ces gens aux coutumes différentes existent vraiment et espèrent se revoir ne serait-ce qu’une seule fois avant la mort…