Not Quite Hollywood
7.5
Not Quite Hollywood

Documentaire de Mark Hartley (2008)

Voir le film

Je ne suis franchement pas familier avec la Ozploitation.

Regarder ce documentaire m'a donc permis de découvrir ce genre et ses films phares. C'est vraiment là toute l'utilité du docu. Des gens qui parlent de ce genre de films. Vous remplacez ça par des esthéticiennes qui parlent de produits cosmétiques et tout de suite, c'est moins excitant (ou alors pas dans le même sens). Les intervenants sont intéressants, mais comme le réalisateur ne retient que les phrases 'choc', on n'apprend finalement pas grand chose si ce n'est que les cinéastes de ce genre sont complètement fous.
De plus, les extraits sont souvent si courts que je crains un peu la déception en voyant les films ; en fait, j'ai peur que les meilleures scènes aient été dévoilées dans ce docu, et que les films en soi soient pénibles... disons qu'au moins les extraits sont très drôles et envoient du rêve.

Bref, je ne me suis pas ennuyé parce que ce genre de film est susceptible de me plaire (j'ai bien ri devant les extraits), mais ça reste assez pauvre comme film, un peu comme une bande annonce de 1h30 pour un genre de film d'exploitation.

BONUS : https://www.youtube.com/watch?v=hksTVKfwVA0
Fatpooper
6
Écrit par

Créée

le 4 févr. 2015

Critique lue 369 fois

5 j'aime

2 commentaires

Fatpooper

Écrit par

Critique lue 369 fois

5
2

D'autres avis sur Not Quite Hollywood

Not Quite Hollywood
Fritz_the_Cat
8

La Dernière séance

Alors que ce bon vieux Mad Max s'apprête à faire peau neuve, pourquoi ne pas jeter un oeil vers sa patrie natale ? Vu le peu de notes qu'il récolte ici, je me dis que ce doc jouissif a su se faire...

le 3 sept. 2014

15 j'aime

Not Quite Hollywood
Gand-Alf
8

Mad Movies.

Il y a les oeuvres respectables, bien sous tous rapports, les films oscarisables et les classiques indémodables, les cinéastes que l'on cite à tour de bras et dont l'influence est incontestable. Un...

le 24 juin 2015

15 j'aime

Not Quite Hollywood
oso
8

Sang pour sang ozzie

Bienvenue dans le livre de bord des cinéastes les plus déviants du pays de ce bon vieux Crocodile Dundee ! Avec Not Quite Hollywood, les portes du cinéma bis à la sauce kangourou ouvrent leurs portes...

Par

le 1 mars 2015

10 j'aime

Du même critique

Les 8 Salopards
Fatpooper
5

Django in White Hell

Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...

le 3 janv. 2016

122 j'aime

35

Strip-Tease
Fatpooper
10

Parfois je ris, mais j'ai envie de pleurer

Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...

le 22 févr. 2014

121 j'aime

45

Taxi Driver
Fatpooper
5

Critique de Taxi Driver par Fatpooper

La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...

le 16 janv. 2011

108 j'aime

55