Nymphomaniac : volume 2 comporte des scènes qui relèverait du sadomasochisme à faire pâlir de pudibonderie 50 nuances de Grey. Ces scènes de sexe amalgamées à la violence démontre un goût prononcé pour la provocation chez Lars von Trier. C’est toujours aussi riche en digressions saugrenues par son soi-disant sauveur qui va augurer un sensationnel rebondissement. Le réalisateur n’est jamais misanthrope, a contrario, il n’appose nullement un regard critique sur son sujet mais - je dirais même qu’ - il vouerait plutôt un culte à son héroïne.
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le 26 nov. 2022
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