"Turkish star wars" puissance 10
Nombreux sont ceux qui considèrent que Dunyayi kurtaran adam, aussi connu sous le nom non-officiel de "Turkish star wars", est le St-Graal du nanar.
Or, Olum Savascisi va encore plus loin, aussi impensable que cela puisse paraître, déjà que les autres réalisations de Cetin Inanc dépassent l'imagination de tout simple mortel.
Ce "Death warrior" franchit les limites du mauvais goût beaucoup plus amplement avec une incompréhension de la structure d'un film encore plus poussée de façon ahurissante, et ce avec un rythme effrené du à un montage bordellique qui n'offre pas au spectateur le temps de respirer entre deux scènes d'une bétise étouffante, si bien que Olum savascisi n'est plus un film, c'est une expérience éprouvante où douleur et plaisir de mauvais goût se lient si intensément qu'on en finit par littéralement tomber de sa chaise, animé de spasmes.