Mobilis in mobile
Cette devise du Capitaine Nemo sied à merveille à ce quatrième et excellent volet des aventures de Bond, James Bond.
Car Vitesse, Mouvement et Choc sont les mots-clefs de cet épisode placé sous le signe de l'eau.
L'Eau symbole de la renaissance, de la frontière entre les mondes, de la passion sexuelle, de la démesure comme de la noyade, règne des requins, omniprésente. Cette eau dont Ponge dit qu'on ne peut l'empêcher de s'infiltrer en tous lieux; une eau comme métaphore d'un SPECTRE plus que jamais puissant et dangereux.


A toute vapeur !


Opération tonnerre, c'est une course à la montre dans les tréfonds du Grand Bleu.


Tout est mouvement ! Le film s'ouvre sur l'excellent gadget issu de l'armée - réel donc quoique perfectionné à l'écran pour les besoins du film - qui constitue une sorte de jet pack qui permet l'envol de Bond semant ses poursuivants. Cette ouverture trouve son écho dans l'envol final aux bras d'une Domino les yeux écarquillés de surprise, emmenée avec Bond au moyen d'un ballon publicitaire lui-même entraîné par l'avion de Leiter. Entre ces deux envols fous, une plongée sous l'eau, toujours approfondie.
Tout est mouvement ! L'intrigue de course contre la montre, contre l'ultimatum effroyable du SPECTRE, unique dans la saga EON y participe. Sans arrêt rappelée au décompte des heures restantes, l'enquête de Bond ne s'accorde pas ou bien peu de répit. 007 toujours mobile en alternance avec les mines toujours plus angoissées et indignées de M et des autres huiles londoniennes s'accordent aux premières paroles de la chanson générique: "He always runs while others walk".
Tout est mouvement ! Visuellement, la vitesse est clairement mise en avant: la scène de torture de Bond par accélération de sa machine d'élongation par le Comte Lippe, le tour de voiture à vive allure Fiona Volpe aux commandes, le Disco Volante en totale dérive et lancé comme une fusée entre les les récifs durant le combat final, autant de scènes où la vitesse et le mouvement sont mis à l'honneur ! La vitesse se voit au travers des yeux d'un Bond qui s'efface devant elle, qu'elle effraie et qu'il ne peut jamais stopper lui-même. Quand ce n'est pas une femme qui y met un terme, la vitesse n'a aucune limite et Bond saute du véhicule en marche.
Tout est mouvement ! On arrête pas le temps de défiler dans Opération tonnerre, raison pour laquelle la parole d'un personnage va souvent moins vite que l'enchaînement des scènes. La parole est encore là lorsque le décor et le contexte ont déjà changé. Une grammaire youngienne propre à cette incroyable réalisation: Domino sur la plage commence révélation qui se change vite en voix-off qui couvre Bond très silencieux s'approchant du point de rendez-vous des hommes de Largo, Paula dans la cache de Pinder s'adresse à un Bon et un Leiter déjà à bord d'un hélicoptère fouillant les mers du regard et espionnant Largo dans sa propriété de Palmyra.


Le monde des eaux s'étend devant eux


Le Grand bleu, voilà un film de Besson qui doit beaucoup à ce quatrième Bond ! Nul autre film de la saga EON ne se déroule en effet aussi longtemps sous l'eau. Les autres incursions sous-marines bondiennes font vraiment pâles figures devant cette immersion digne des plus folles descriptions de Vingt mille lieues sous les mers de Jules Verne. Avec Bond en 1965 comme avec Nemo en 1865, le spectateur visite les forêts de corail (les vraies comme les fausses, d'ailleurs), découvre mille races de poissons, une faune insoupçonnable et abondante dans les fonds marins où l'homme reste un pionnier et où, par voie de conséquence, la lie de l'humanité peut se cacher pour menacer l'homme terrestre.
Les visuels sont bons mais l'aisance de ces scènes sous-marines est stupéfiante ! Terence Young propose l'équivalent de ce peuvent offrir les scènes terrestres mais sous l'eau ! Tout en conservant le réalisme des spécificités de l'élément liquide, il transpose avec génie des lieux communs des films d'espionnage dans un lieu inédit d'une façon encore inégalée, ne serait-ce que par 007 lui-même ! En témoigne l'inoubliable et captivante scène de champs de bataille sous-marin entre les forces de l'OTAN et celles du SPECTRE.


Monsieur Requin et ses pages


Un Grand Bleu où les humains, fidèles à l'imagerie flemingienne, digne de Coolidge, se changent en monstres marins.
La belle et énigmatique (mais bien jeune dans ce film) Claudine Auger (Un papillon sur l'épaule), ex-miss France au statut contesté,interprète de la charmante Domino, figure une candide petite sirène, privée du trident protecteur de son frère, abandonnée aux crocs acérés du cruel Largo, membre du SPECTRE, campé avec classe et charisme par Adolfo Celi (Le Grand escogriffe). Un Largo aussi froid que violent et cruel, tel un requin humain à faire peur aux véritables requins. Violent physiquement et verbalement sous un dehors calme et fraternel, il cumule le flegme d'un Dominic Greene et la sauvagerie d'un Franz Sanchez. Méchant exceptionnel et inimitable à ce titre, il incarne la violence latente du film, violence portée par des scènes chocs inoubliables dont il est souvent l'acteur principal: la torture chaud-froid de Domino, l'humiliation publique et totalement gratuite de Vargas, l'exécution électrique d'un membre tricheur du SPECTRE par Blofeld que Largo regarde d'ailleurs avec une une impitoyable indifférence et surtout l'excellente scène de mise à mort de son espion envoyé chez Bond. L'homme, n'osant avoué avoir été repéré par Bond, confesse silencieusement son échec et est livré aux requins de sa piscine par Largo qui embrasse ostensiblement sa bague-pieuvre à la façon d'un parrain de la pègre.La scène quitte très vite le dehors aéré pour placer le spectateur en immersion, au niveau du mourant, le ciel recouvert par l'eau maîtresse du film.
Face à ce terrible requin humain, un autre requin plus sobre et plus trompeur, plus distingué: James Bond. Toujours impeccablement campé par Sean Connery - qu'on ne présente plus - l'espion de Sa Majesté apparaît tel que la chanson générique de Shirley Bassey refusée mais conservée à l'état purement musical le présentait: un gentleman killer, une sorte de requin (like a shark, he looks for trouble), qui n'affiche aucune hostilité mais provoque pour mordre sauvagement quand on s'y attend le moins. A noter que la musique conservée de la chanson de Bassey, signée John Barry, renforce l'impression d'immersion totale et d'exploration des mondes marins dans lesquels s'attarde James Bond.
Autour de ce trio, l'équipe de soutien habituelle (M, Moneypenny et Q) joués par leurs meilleurs interprètes (Bernard Lee, Loïs Maxwell et Desmond Llewelyn), les alliés sur le terrain, Félix Leiter (plus proche de Jack Lord mais restant dans le style âgé de Cec Linder, joué convenablement par Rik Van Nutter, un habitué des westerns et mari d'Anita Eckberg, alias l'échappatoire de Krilencu dans Bons Baisers de Russie) et Paula Caplan (nouvelle associée de Bond au nom hitchcockien, un rôle enfin plus important et digne de Martine Beswick qui fait là sa troisième apparition dans la saga et s'en sort comme un poisson dans l'eau, toujours aussi séduisante), et les seconds couteaux de Largo. Parmi ces derniers, le Comte Lippe (Guy Doleman, un collectionneur de participations dans les séries), Vargas (Philip Loke, au physique si particulier, habitué de Chapeau melon et Bottes de cuir) et surtout l'enjôleuse et vénéneuse Fiona Volpe, véritable pieuvre humaine, d'une perversité sans égale, élégamment interprétée par l'excitante et nerveuse Luciana Paluzzi (Pas de roses pour Oss117, Five Fingers), qui voulait jouer Domino et a gagné en échange un rôle bien meilleur où elle a pu faire plus montre de son talent.
Dans l'ombre, Jacques Bouvar(d), N°6 du Spectre,


en fausse veuve de lui-même


joué par Bob Simmons alias James Bond ..du moins sa doublure jusque dans la séquence traditionnelle d'ouverture dite du Gunbarrel (qu'il n'est d'ailleurs plus dès le Gunbarrel de ce film). Ce méchant pré-générique est plus présent que l'invisible méchant de ce type dans Goldfinger. Il est vite suivi par l'énigmatique M. Angelo, sosie de François Derval, le frère de Domino qu'il tue et remplace. Paul Stassino, un habitué aux rôles de méchants séducteurs joue la dualité des deux hommes au physique identique avec une grande efficacité. Ainsi, ces deux méchants supplémentaires mettent en relief la thème du double très fort en début du film, hommage à la doublure qu'est Simmons mais aussi sans doute dû à la particularité d'Opération tonnerre. Produit par le duo habituel Broccoli-Saltzmann, il l'est aussi par Kevin McKlory, l'homme à l'origine de la polémique des droits du SPECTRE, de Blofeld et de James Bond tout court. Ce qui fait de ce film, l'unique volet appartenant et à la saga EON et à la saga McKlory (Warhead) qui n'accuse qu'un seul autre volet, Jamais plus jamais, pour trois autres volets au bas mot restés à l'état de projet. Versatile, volant d'une saga à l'autre, Opération tonnerre mérite d'être vu comme le James Bond du mouvement.
Enfin, moins dans l'ombre, du moins plus présent, si ce n'est que vocalement, réapparaît Ernst Stavro Blofeld, le chef incontesté du SPECTR**E toujours doublement joué par **Anthony Dawson (Dr No) pour le physique et Eric Pohlmann (La Panthère rose) pour la voix. Le duo impeccable dans Bons Baisers de Russie réitère son exploit passé et livre l'un des meilleurs Blofeld de l'histoire de la saga.


En bref, un Grand Bleu où les hommes semblent plus des requins que des hommes, un univers filmique qui n'est pas sans rappeler les chapitres XIII et XVIII du Mardi de Melville dont je citerai ici un extrait qui peint le requin bleu et qui eût été un parfait portrait de Mister Kiss Kiss Bang Bang, comme le nomment les italiens, ou de son antagoniste, Emilio Largo: " Souvent aussi, nous rencontrions un dandy: le requin bleu, long, svelte, l'allure fort distinguée, avec une taille mince comme un élégant de Bond Street et les plus blanches rangées de de dents imaginables. Ce requin aristocrate flâne toujours, la nageoire nonchalante, la queue paresseuse. Mais il a un air de cruauté diabolique".


                                                                           ***

En eaux troubles ...


S'il est un défaut à pointer dans ce film, il naît d'un réel et curieux paradoxe.
Daté et semblant accepté cette ancienneté formelle, il cherche pourtant un renouveau qui le vieillit encore plus ...


Eaux par avant


C'est un fait, Opération tonnerre souffre d'un contexte bien daté économiquement et culturellement. Ce bât qui le blesse, c'est Austin Powers qui se plaît à le rappeler tout au long de sa saga qui raille le complot de Blofeld, Blofeld lui-même et surtout Largo. Austin Powers ne se renouvelant qu'avec peine, ces cibles resteront surtout Opération tonnerre et On ne vit que deux fois, échouant avec Goldfinger et causant énormément de tort au premier des trois. La paresse, qui est souvent muse de la dérision, fait de ses ravages qu'on ne saurait pointer suffisamment.
Mais nonobstant cette parodie des années 90, Opération tonnerre souffre d'un coup de vieux qu'il se porte lui-même avant qu'Austin Powers ne lui porte le coup de grâce, tel le lion mourant de la fable, frappé par les plus redoutables animaux pour être achevé par l'âne. Il suffit, pour s'en convaincre, de s'imprégner de la mode vestimentaire des vacanciers branchés devenue aujourd'hui le tout-prenant des derniers des touristes. Bond porte des lunettes de soleil et un chapeau de paille comme la dernière trouvaille à la mode tandis que Leiter, pourtant toujours agent secret, se fait extrêmement voyant en costard sur la plage. Humeur vestimentaire tropézienne qui s'accorde avec le parler jeune des années 60 de ce lieu, que l'on retrouve sans peine dans Le Gendarme de St Tropez, et qu'affecte particulièrement Domino. Cette modernité de circonstance ancre énormément le film dans cette époque et, s'il s'éloigne du style années 50 encore présent au début du film - avec le personnage de Madame Laporte surtout - il ne s'assure aucune intemporalité. La postérité que nous représentons y voit du vieux, du vintage. Un autre exemple parlant: le chapeau de Bond. Présent dans les deux premiers films et dans tous les Gunbarrel de Sean Connery ainsi que celui de Lazenby, lancé par Bond sur le porte-manteau de Miss Moneypenny, il est cette fois absent. Et cette absence, Bond la souligne ("Je crois qu'en entrant, j'avais un chapeau") comme pour montrer au spectateur la modernité du film et de son personnage. Hélas, ce signalement rappelle plus qu'il ne fait oublier cet aspect vieillot du personnage. L'effet est donc contraire à celui escompté.


Un tempête sous des crânes ...


Ce qui peut expliquer cette double vitesse contre-productive, c'est la présence sur le tournage du film de deux équipes de production ennemies qui rendent le film schizophrène.
D'un côté Kevin McKlory, tenant d'une certaine modernité, que Sean Connery rencontre. En germe, la création du duo de Jamais plus jamais et Warhead qui cherchera à causer la perte de la saga EON dès le début des années 80.
De l'autre, Cubby Broccoli et Harry Saltzmann, tenant du succès acquis qu'ils souhaitent renouveler tout en conservant les recettes porte-bonheur.


... qui mène à des écueils stupides


Cette agitation, que l'on devine déjà à ces courants contraires de modernité et d'ancienneté, est plus visible encore aux erreurs du film dont la plus importante est un revirement d'allégeance soudain du Pr Janni - moins crédible que ne l'est celui de M. White dans Spectre - qui sauve Domino et Bond puis...disparaît comme par enchantement ...
On doit sans doute aussi à cette agitation l'onomastique toujours discutée du Colonel Bouvard, aussi écrit Bouvar et appelé Boitier dans certaines versions du film.


                                                                               ***

Accident ou incident?: de l'or pour les braves !


Réduire Opération tonnerre à ces quelques problèmes anecdotiques reviendrait à s'en tenir à la chanson générique proposée par Johnny Cash: dire qu'il est génial mais bien trop vieux pour l'esprit bondien de la saga EON.
Il faut surtout reconnaître l'innovation réussie et les dialogues anthologiques de ce volet.


Car Opération tonnerre ne rechigne pas devant les morceaux de bravoure et va même jusqu'à les créer.
Visuellement, les choix de plan sont astucieux et recherche l'originalité. Sans se faire redondant sur la représentation visuelle de la vitesse ou les scènes sous-marines, on peut pointer du doigt le plan immergé suivant la vision de l'homme de main de Largo laissé aux requins. Ou la scène débutant sur un Largo immense devant Domino ligotée sur un lit, image qui semble étrange et pour cause ! Il s'agit d'un reflet dans le plafond miroir du décor de la scène de torture que la victime, Domino, va pouvoir observer. Cette scène témoigne d'un plus bel usage cinématographique du miroir que celui de Goldfinger.
Ces plans témoignent d'ailleurs d'une volonté présente tout le long du film d'épouser le point de vue des personnage: Bond peut avoir un mouvement de recul terrifié par surprise face à une personne faisant violemment irruption dans le champs, qu'il pense être un des hommes de Largo à sa recherche.
Sur le plan narratif, Opération tonnerre laisse aussi quelques surprises. L'entretien avec M n'a lieu qu'au bout d'une demi-heure et fait lien avec l'enquête personnelle que Bond était déjà en train de mener sans accréditation. Ce qui place Bond en situation de maître de la situation parmi tous les agents 00 que nous découvrons à ses côtés. Autres trouvailles, un scénario qui privilégie l'action des James Bond girls - désolé pour les sempiternels défenseurs du 007 beauf! - puisque Paula tient tête à ses tortionnaires et leur coupe l'herbe sous le pied en se tuant et puisque Domino


tue Largo qui s'apprêtait à tuer Bond.


Même les gadgets, ici nombreux et toujours aussi inventifs - une réserve d'air tirant des harpons, une pilule GPS à avaler, un appareil photo sous-marin à infrarouge qui détecte les radiations nucléaires, un réservoir d'air de poche (que l'armée a voulu acquérir et que George Lucas a repris dans La Menace fantôme), une moto-lance-missile, l'Aston Matin DB5 modifiée - servent parfois une originalité de mise en scène. A l'exemple du livre recelant un enregistreur qui permet à Bond de reconstituer l'intrusion d'un sbire de Largo caché chez lui. L'image suit le son enregistré pour épouser le regard de Bond interprétant ce que lui révèle ce gadget. L'originalité de cette mise en scène permet d'éviter le lieu commun de l'ennemi vu en train de se glisser chez le héros.
La même recherche d'originalité ponctué d'un humour certain et d'une poésie inattendue permet de distancier et suggérer l'acte sexuel de Bond et Domino, non par ellipse mais par le jeu de protagonistes cachés derrière un rocher, une kyrielle de bulles s'évaporant en fond.


Opération tonnerre, c'est aussi un ensemble de dialogues anthologiques et inoubliables.
J'en citerai quelques uns pour mémoire:
- C'est un fusil pour femme, je doute qu'il me convienne ! / Vous vous y connaissez en armes, M. Bond? / Non, je m'y connais en femmes.
- D'où tenez-vous que mes amies m'appellent Domino? / Eh bien, c'est inscrit sur le bracelet de votre cheville. / Hum, vous avez l'oeil perçant! / Attends de voir mes dents !
- Je vois un Spectre derrière vous, le Spectre de la défaite, ce qui signifie que votre chance a tourné. / On dirait que vous souhaitez me jeter un sort, M. Bond, peut-être devrai-je vous exorciser? On a les moyens de traiter ce genre de chose dans mon pays ! / Sur moi, ça marchera, certes. Mais sur les cartes?


Conclusion


Un excellent James Bond, particulier tant par son esthétisme, sa narration inventive que par sa dualité de production qui souffre malheureusement du temps qui passe et de la parodie scatophile d'Austin Powers. Mais une immersion à nulle autre pareil dans les désert humain liquide de l'élément mobile dans lequel, mobile, Bond ne cesse de se déplacer à vive allure !

Créée

le 25 juil. 2016

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Frenhofer

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