Son nom est Dujardin, Jean Dujardin
Il est toujours délicat de critiquer une comédie tant le concept même d'humour est subjectif. Alors lorsqu'il s'agit en plus d'une parodie, cela complexifie la mission.
Je dirais tout simplement que ce film m'a fait marrer, ce qui est bien rare ces dernières années. Souvent je souris, mais là je me suis éclatée de rire. Bien sûr pour deux chose : les dialogues et Jean Dujardin qui, quoi qu'on en dise, joue très bien des sourcils. Et c'est tout ce qu'on lui demande.
Avant son "The Artist", Hazanavicius possédait donc déjà ce goût pour le bel hommage à un genre un peu passé. Ici, des décors aux costumes, tout est soigné pour se retrouver plongé au cœur du Caire des années 50. Avec cette touche kitch absolument réjouissante !
A défaut de long discours, je ne pourrais que citer ma réplique désormais culte qui m'a fait tomber de mon canapé : "On peut dire que le soviet éponge."
Rien à ajouter.
Ah si ! Aure Atika est toujours aussi mauvaise actrice. C'était gratuit.